
Se lever, trouver l’énergie pour sortir du lit et aller à un travail… que l’on n’aime pas.
Et supporter les frustrations, la démotivation, la sensation de gâchis et de perte de temps en se disant « je peux faire beaucoup mieux que ça ! ». Ressentir cette boule au ventre et cette lassitude permanente voir du dégoût.
Pour aimer notre travail, nous avons besoin qu’il soit conforme à nos valeurs (que l’entreprise ne s’adonne pas à des pratiques qui nous heurtent), que les conditions dans lesquelles nous exerçons notre travail soient satisfaisantes en termes de salaires, de relations, d’environnement etc. et enfin que notre travail soit motivant, intéressant voir ludique pour nous.
Nous poser, donc, la question « est ce que j’aime mon job? »
Et si la réponse est non, nous dire « qu’est ce que je n’aime pas dans mon job? ».
Listons toutes les actions à mener et qui sont en NOTRE pouvoir pour changer les choses à l’intérieur du système dans lequel nous travaillons. Et nous donner, quand même, un délai raisonnable pour qu’ils se réalisent !
Si cela ne marche pas, il est temps de changer de système.
En effet, faire en sorte d’aimer ce que l’on fait nous permet de nous ouvrir, de nous dépasser, d’exploiter tout notre potentiel et plus encore…
Aimer ce que l’on fait nous ASSURE la réussite car on va obligatoirement être bons. Confucius a dit: » Aime ce que tu fais et tu n’auras plus jamais à travailler un seul jour de ta vie ».
Cela nous permet de donner un SENS à ce que nous faisons.
Un sage s’arrête devant un chantier et demande à un ouvrier creusant un trou par forte chaleur : «qu’est ce que vous faites ? », l’ouvrier répondit en fronçant les sourcils : « je creuse un maudit trou !!! ». Le sage s’avance et rencontre un deuxième ouvrier et lui pose la même question et ce dernier de lui répondre avec un large sourire : « je bâtis une université ! ».
En tout état de cause, rien ne sert de maintenir le statut quo car vous perdez votre temps et faites encore plus pourrir la situation.
On a tout à y gagner à changer.